Un article long qui revient sur les motivations réelles des Etats démissionnaires (Afrique du Sud, Burundi, Gambie) et qui confirme que c’est une lecture politique - et non "raciale" - qu’il faut faire de la situation : chacun des chefs d’État a des raisons particulières de quitter la CPI, qui n’ont rien à voir avec la critique postcoloniale leur servant de prétexte. L’effet domino devrait être limité, mais confirme que la Cour a un sérieux problème d’image.